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Construction d'hôtels à insectes par la classe 9G2
Une grande partie des fleurs de nos campagnes utilisent des insectes pour assurer leur reproduction: diverses espèces d’insectes vont butiner le nectar, un liquide sucré dont ils se nourrissent, et ce faisant, emportent accidentellement avec eux le pollen de la fleur. Lorsqu’ils visitent la fleur suivante, ils y déposent ce pollen, assurant ainsi la fécondation de la plante.
On dit de type de fleurs qu’elles sont entomogames, c’est à dire qu’elle ne peuvent pas se reproduire sans l’aide des insectes.
On dit de type de fleurs qu’elles sont entomogames, c’est à dire qu’elle ne peuvent pas se reproduire sans l’aide des insectes.
Or, le milieu qui nous entoure est fortement modelé par l’homme et propose peu d’habitats aux diverses espèces d’insectes pollinisateurs.
C’est pourquoi la classe 9G2, guidée par M. Geoffroy Colau, stagiaire HEP et Mme Delphine Cestonaro ont construit trois hôtels à insectes. |
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Il s’agit de loges de bois proposant divers types habitats favorables à une ou des espèces particulières. Par exemple, certaines abeilles solitaires, guêpes et autres syrphes apprécieront les tiges de bambous ou de roseaux empilées. D’autres espèces d’abeilles préfèreront une brique de terre cuite emplie de boue, ou des rondins de bois percés. Les perce-oreilles quand à eux seront ravis par un petit tas de paille caché sous un pot à fleur retourné.
En proposant ainsi une grande variété d’habitats possibles, on espère augmenter la population de ces insectes, et donc l’efficacité de la reproduction des fleurs de la zone. De plus, plusieurs de ces espèces d’insectes sont d’excellent agents de lutte contre des nuisibles comme les pucerons ou les chenilles mineuses de feuille, dont eux ou leurs larves se nourrissent. Leur présence assure donc une meilleure santé des végétaux. (CES)
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Emission "On en parle" de la RTS
Germaine Müller vous emmène visiter un logement tout à fait particulier destiné à des hôtes avec des ailes, qui piquent, qui percent ou qui portent bonheur. Patrick Arnold, chef du groupe parcs et jardins de l’université de Lausanne, définit le rôle de cet hôtel à insectes et explique comment fabriquer cet habitat. |
Hôtel à insectes sur le site lausannois
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